•  

    Les news de ChantalNous recevons régulièrement des nouvelles de Chantal par sms.

    Elle nous tient au courant de son avancée sur le chemin et nous envoie toujours tout plein d'amour.

    Partie le 31 mai (article ICI), elle a emprunté le chemin qui longe la mer par étapes d'environ 20 km, selon son ressenti.
    Elle dort soit sous la tente, soit dans des locaux mis à disposition des marcheurs, suivant le temps et les opportunités.

    Dans cet article, les personnes intéressées pourront suivre son itinéraire au fur et à mesure de ses communications.
     

    Le 31 mai, elle écrivait :

    Merci de m'avoir accompagnée ce matin. J'ai fait 21 km pour une première journée, c'est super. La toile de tente est installée pour la nuit. Tout est ok.

    Le 3 juin :

    4ème jour de bivouac, ou presque : hier, c'était le refuge de Saintes et ce soir c'est la mairie de Corme Royal qui m'a prêté un local. Tout va très bien. La VIE est +++.

    J'ai rencontré 2 femmes qui ne faisaient halte que dans les hébergements et un seul monsieur qui prenait le chemin le plus court. Ils allaient après sur Pons. 

    Chantal pas à pasLe 6 juin :

    Merci à vous de toutes vos pensées positives. Hier j'ai pris le bac à Royan et cette nuit, je me suis payé un hébergement entre le bac et Soulac (douche, linge et plage). Aujourd'hui, je continue direction Soulac. Le chemin est une source de bonheur et de joie.

    Le 18 juin :

    J'ai couché cette nuit à Parentis-en-Born. Je suis donc dans les Landes. Progression lente mais régulière. Je prends le temps de visiter. Ça reste pour moi aussi des vacances. J'en suis à 330 km sur le chemin. 

    Le 23 juin :

    Je sors de Seignosse, direction Capbreton, et là, je vois quoi ? Les Pyrénées ! Je n'en crois pas me yeux !

    Chantal pas à pasLe 26 juin :

    J'ai fait une journée de pause mercredi chez une copine à Capbreton. J'ai quitté les Landes hier, pour les Pyrénées Atlantiques. Hier j'ai couché à Bayonne et aujourd'hui, je longe la côte, Anglet, Biarritz, St-Jean-de-Luz. Sublime.

     Le 28 juin

    Je passe en Espagne !

    Le 6 juillet

    Ce soir, je suis à l'albergue d'Islares. Je préfère me poser dans petits villages. Passe le bonjour à tous.

    Le 13 juillet

    Hier 35 km, aujourd'hui que 20, vu le soleil. J'ai trouvé une albergue, petite, agréable, à 15h, je m'y suis arrêtée. Je suis à Pineres de Pria. Le chemin est toujours aussi miraculeux, tout va tellement bien.

    le 19 juillet

    Je suis arrivée à Oviedo vendredi à 13 h. J'ai pu visiter la ville, cathédrale grandiose. Depuis samedi je suis donc sur le Camino Primitivo. C'est grandiose, chemin montagneux, à l'ombre, avec ruisseau et/ou fontaine. Très agréable, vu la grosse chaleur. Les albergues sont très bien. Ce soir je suis à Bodeyanan, entre Salas et Tinéo, à 256 km de Saint Jacques de Compostelle. C'est merveilleux.

    Chantal pas à pas


    Le 20 juillet

    Ce soir je suis à Campiello. Ce que je vis est indescriptible, je n'ai plus de mots pour le qualifier, tant d'amour donné et reçu...


    Le 27 juillet

    Josée et Richard, des amis, m'ont rejointe avec le camping-car. Donc pour ces 3 derniers jours, je ne porte que le sac à dos de la journée et je n'ai plus d'albergue à chercher. Youpi. Je continue d'envoyer de l'Amour à nous tous...


    Le 29 juillet

    Je suis au pied de la catahédrale !


    Le 2 août

    Je suis de retour en France, je viens de passer la frontière, mais cette fois en camping-car. Je pense que je vais arriver avec mes amis ce soir ou demain...

     

    Chantal nous est revenue, en meilleure forme que jamais, et le carnet de pèlerin bardé de tampons.

    Chantal pas à pas
    passage en Espagne entre le tampon du 26 juin et celui du 28, preuve à l'appui !



    Elle a eu depuis l'excellente idée de rassembler les notes de son carnet de voyage en un document qu'elle nous a autorisé à publier dans cet article.
    Les curieux de détails y trouveront leur compte :

     

    Pour la beauté de l'objet, plus que pour la gloriole, dont vous vous imaginez bien que Chantal n'a que faire :

    Chantal pas à pas



    Alors, le sac à dos vous titille-t-il ? Une petite envie de tenter le coup aux prochaines grandes vacances ?

    Il va y avoir du monde sur les chemins, en 2016 !



  • Quand elle ne dessine pas de plans, elle en organise.

    Nathalie, présente depuis fort longtemps à l'association Hélioterre, et qui a accompagné nombre de ses membres dans le combat que représente l'obtention du permis de construire pour un habitat différent (entreprises intervenantes), dévoile un autre talent, beaucoup plus souriant : celui d'organisatrice d'événements.

    Si vous ne savez pas quoi faire dimanche 19 juillet, venez donc faire un tour impasse des Iris à La Touche (plan d'accès ICI).

    Vous y trouverez :



    Ça commence à 18h.


    Profitez-en pour faire plaisir à votre petite famille, à vos amis : faites-leur partager ces réjouissances.

    Un siège sera le bienvenu, ainsi que votre meilleur petit plat.


    INFOS
    PARKING

    Merci de ne pas vous garer dans la cour de l'impasse des Iris, qui sera vite bondée, mais sur l'espace gazonné de l'impasse d'en face, ou sur le trottoir avenue de l'Océan (D939 sur laquelle donne l'impasse des Iris).
    Ceux qui connaissent la maison peuvent se garer derrière, au portail noir.

     

     

     

    Et un petit aperçu pour nous mettre l'eau à la bouche :

     


    Alors, c'est dit ? On se retrouve là-bas dimanche ?


  • Ce soir-là il y a eu le feu à l'écohameau.

    C'était le 27 juin et la Saint-Fernand.

    Mais nous avons décidé que c'était la Saint-Jean.

    En fait, c'était un peu prémédité. Un peu beaucoup... Et joliment préparé par Joël est les garçons.

    le feu à l'écohameau le feu à l'écohameau le feu à l'écohameau
     le bois   la citerne  les deux
    le feu à l'écohameau le feu à l'écohameau le feu à l'écohameau
    daniel trace des chemins d'accès
    et rase de près le pré
    autour du tas de bois
    puis se croise les bras

    pendant que d'autres déchargent les tables aimablement prêtées
    par la commune
    le feu à l'écohameau le feu à l'écohameau le feu à l'écohameau
    le maître du feu...

    ...bourre le tipi de paille
    pour un allumage flamboyant
    et que pas une brindille ne dépasse !
       
    le feu à l'écohameau le feu à l'écohameau le feu à l'écohameau
     anne-marie en saint-jean  evelyne au coin et harp en harp


    Le beau monde arrive, chargé de non moins belles nourritures terrestres :

    le feu à l'écohameau le feu à l'écohameau le feu à l'écohameau
    la classe

    marie fait très très fort
    avec ses petites sauces où tremper
    ses crackers plus que bio
    il y en a qui préfèrent boire


    Et parfois de remarquables parures :

    le feu à l'écohameau le feu à l'écohameau
     on aime ! 

     

    Le soleil prend vraiment son temps pour aller se coucher (pourquoi aussi raccourcir une si splendide journée ?).
    Y a plus qu'à prendre l'apéro et papoter :

    le feu à l'écohameau le feu à l'écohameau le feu à l'écohameau
    aussi notre voisin anglais

    ça ricane entre filles

    belle présence...

     

    le feu à l'écohameau


    La luminosité a décliné.
    On a mis la petite laine.

    Et puis Vénus est apparue dans le ciel
    Et c'était le signal.
    Quelqu'un a craqué une allumette
    Et puis il y a eu le feu.


     

     

     

    le feu à l'écohameau le feu à l'écohameau le feu à l'écohameau
    c'est lui ! vu ! s'immortaliser...


    Après, on n'a plus maîtrisé. On a laissé faire.
    Le bois, l'air, le feu ont fait le reste, sous la haute surveillance de l'eau.

    le feu à l'écohameau le feu à l'écohameau le feu à l'écohameau
         
    le feu à l'écohameau le feu à l'écohameau le feu à l'écohameau
    un cercle de flammèches se forme...
    et s'étend, vite les arrosoirs !
     le bois ne résiste pas
     il se tord en grimaces

     

    Dans l'air calme de la nuit, la voix d'Anne-Marie s'élève : c'est l'heure du conte.

    le feu à l'écohameau le feu à l'écohameau le feu à l'écohameau
    aux intonations de la conteuse nous rêvons autant que nous frémissons 



    Le feu n'est plus que braises.
    Certains prennent maintenant congé du lieu et de sa magie.
    D'autres tentent encore, paraît-il, le saut par-dessus ce qu'il reste du feu...

    Il est l'heure maintenant de regagner nos huttes.

     






    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires